• Cette année encore, 400 saisonniers vont se relayer dans les champs. Il leur faudra pas moins de 50 000 heures de travail pour ramasser les 180 tonnes attendues pour l’ensemble des adhérents de la Coopérative du Haricot Tarbais.
  
• L’arrivée de l’automne, c’est aussi le retour de plats chauds et traditionnels tels que la garbure et le cassoulet. Pour lancer la saison culinaire, la Coopérative propose une opération commerciale inédite sur sa e-boutique www.pyrenalliance.com jusqu’au 22 octobre.

La récolte dans le respect d’un savoir-faire authentique pour un produit résolument moderne

Bien à l’abri dans leur écrin, les grains de Haricots Tarbais sont le fruit du travail de la main de l’homme. Leur culture nécessite un grand soin et un savoir-faire traditionnel qui ont fait leurs preuves depuis de nombreuses années. En effet, afin de retrouver toutes leurs qualités nutritives et gustatives, les agriculteurs doivent respecter les règles drastiques établies par les cahiers de charges Label Rouge et IGP*, notamment un ramassage exclusivement manuel.

À la différence des autres haricots, le Tarbais est une plante grimpante qui a besoin d’un tuteur. C’est pourquoi les agriculteurs ont vite pris l’habitude de semer une graine de Haricot Tarbais au pied de chaque grain de maïs.

Un tel mode de culture oblige une cueillette gousse par gousse afin de ne pas meurtrir les grains.

Compte tenu de la floraison étagée, chaque parcelle est récoltée en un ou plusieurs passages, au fur et à mesure de la maturité des graines pour offrir aux plus fins gourmets leur subtile saveur.

80 % des adhérents font appel à de la main d’œuvre saisonnière spécialement recrutée à cet effet : la Coopérative joue ainsi un rôle économique et social non négligeable sur le territoire local, ce qui représente environ 400 travailleurs en cumulé tout au long de la période de récolte.

Avec près de 50 000 heures de travail au total, ce sont environ 30 équivalents temps plein qui sont embauchés annuellement par la Coopérative.

En 2017, 150 ha ont été cultivés par les 60 adhérents, dont 6 nouveaux producteurs, pour un prévisionnel de récolte de 180 tonnes.

Une offre promotionnelle à ne pas rater pour découvrir un produit de saison

Jusqu’au 22 octobre 2017, les consommateurs pourront profiter d’une opération commerciale spéciale lancée par la Coopérative du Haricot Tarbais sur son site de vente en ligne www.pyrenalliance.com

« Cuisiné traditionnellement en garbure ou cassoulet, mais aussi en velouté, gratin, purée, mijotés ou en sauce, le Haricot Tarbais accompagne délicieusement viandes, poissons et légumes. Fleuron de la gastronomie française, il se révèlera être un accompagnement de premier choix pour sublimer mille et une recettes, froides ou chaudes, salées ou sucrées. »

Alexis Saint-Martin, chef du restaurant Le Viscos à St-Savin (65)

Pour les personnes désireuses de réaliser elles-mêmes leur préparation, la Coopérative propose une gamme de haricots secs, disponible en 3 conditionnements : 250 g, 500 g et 1 kg.

Parce que les producteurs se vouent à produire le meilleur des haricots, il est essentiel de proposer cette excellence aux consommateurs sous forme de plats cuisinés :

– le Haricot Tarbais cuit au naturel,

– les Cuisinés à la graisse de canard,

– le Cassoulet aux manchons de canard IGP Sud-Ouest et à la Saucisse de Toulouse issue de Porc Fermier du Sud-Ouest Label Rouge*,

– la Garbure aux Haricots Tarbais et manchons de canard IGP Sud-Ouest et Jambon de Bayonne IGP*,

– les Haricots Tarbais aux Légumes du Soleil, à déguster aussi bien froids que tiédis, en plat végétarien complet ou en accompagnement d’une viande ou d’un poisson,

– la Truite aux Haricots Tarbais et le Poulet aux Haricot Tarbais, des associations originales et savoureuses qui sont toutes deux élaborées à partir de matières premières régionales.

Pratique et économique, la barquette mono-portion permet une restitution au micro-ondes en seulement 2 minutes du succulent Mijoté d’agneau aux Haricots Tarbais, un gain de temps idéal notamment dans le cadre de la consommation sur le lieu de travail. Tout cela, bien sûr, dans le respect des qualités organoleptiques du Haricot Tarbais et de son fondant unique.

La Sacopette, pour vêtir et pour grandir ! Ce nouveau concept de vêtement pratique et ludique dévoile une nouvelle collection d’hiver bien pensée et devient un incontournable dans le placard des petits!

La Sacopette démocratise le « Made in France» : confectionnée à la main par les créatrices elles-mêmes, elle reste un vêtement à un prix très attractif !

La collection automne/hiver de Sacopette

Avec ses nouveaux tissus en sweat, molletonnés ou intérieur peluche, Sacopette propose une collection douillette et confortable pour l’automne/hiver ! Ce « mono-vêtement » (haut+bas) est en plus la promesse d’un vêtement chaud mais respirant, sans avoir à superposer des couches d’habits quand le froid se fait sentir !

Ce concept inspiré de la salopette se décline avec des imprimés doux, poétiques et un style affirmé et vivant ! Des touches de doré se mêlent au sweat gris plus décontracté, quelques paillettes discrètes se dévoilent et côtoient des motifs plus graphiques… La marque positionne clairement sa Sacopette comme l’ « habit-ami » looké du quotidien !

Évidemment, le confort est toujours à l’honneur, ADN même du vêtement, sans bouton ni pression, ni fermeture. Il s’enfile et s’enlève en un seul geste, au grand bonheur des enfants et des parents ! Et avec une nouvelle taille en 3-6 mois, les plus petits aussi pourront passer un hiver bien douillet !

Du « Made in France » accessible et populaire

Le concept de la Sacopette, c’est aussi de démocratiser le « Made in France » !

Sacopette, c’est une production locale et artisanale : tous les produits sont cousus main par une des créatrices de la marque toulousaine, et le prix n’en reste pas moins attractif ! « Nous sommes mamans et savons qu’habiller des enfants représente un budget ! Nous avons souhaité que la Sacopette soit un vêtement simple et populaire, que les parents puissent acheter du « Made in France » pour leurs enfants sans se ruiner ! » confient Anne-Laure Pichon & Anne-Laure Rami, co-fondatrices de la Sacopette.

Le vêtement est ajustable selon le gabarit de l’enfant, un point fort pour les familles qui doivent souvent renouveler la garde-robe des enfants !

La « SacoBox », le coffret cadeau de Sacopette

Pour une naissance, un anniversaire ou seulement l’envie de se faire plaisir, Sacopette a imaginé un coffret cadeau avec des accessoires tout aussi ludiques et pratiques : de l’attache-sucette (lavable en machine) au « sac-à-vrac » réversible, la marque décline sa SacoBox en version mini ou maxi.

« Nous avons déjà dû faire ou recevoir des cadeaux de naissance. L’esthétique et le prix sont souvent choisis au détriment de l’utile et du pratique… Nous avons pensé aux besoins des nouvelles mamans ! » témoignent les deux Anne-Laure.

Disponibles en ligne : https://sacopette.com/

Prix de vente conseillé de la Sacopette : à partir de 24,90 €.

Prix de vente conseillé des SacoBox mini et maxi : respectivement 50 € et 70 €.

• L’association Avocats Sans Frontières France assure depuis près de 20 ans la défense de toute victime de violation des Droits de l’ Présidée jusqu’à aujourd’hui par son fondateur Me François Cantier, ASF France est dorénavant dirigée par 2 jeunes avocats Julien Pourquié Kessas et Vincent Fillola, élus lors de la dernière AG.
• Me François Cantier reste Président d’

Deux co-présidents pour répondre aux défis du monde

« Nous nous sommes engagés auprès d’Avocats Sans Frontières France avec la seule volonté de mettre notre force de travail et nos compétences au service des actions que nous menons, avec comme unique ambition de concourir à la qualité de nos interventions auprès de celles et ceux qui comptent sur nous, avec comme désir singulier celui d’être simplement utiles aux autres.

Nous sommes conscients que notre légitimé ne se décrète pas, mais devra être démontrée à chaque instant, à chaque prise de décision, par notre capacité à renforcer et pérenniser l’œuvre d’ASF France aux côtés de l’ensemble de ses salariés et bénévoles. »

Julien Pourquié Kessas et Vincent Fillola, co-présidents d’ASFF

Après avoir prêté serment en 2014, Vincent Fillola a été associé fondateur du cabinet Ancile Avocats jusqu’en 2017, avant d’exercer aujourd’hui à son compte. Il est spécialisé en droit pénal, en droit des affaires et en droit de l’économie sociale et solidaire.

De 2011 à 2013, Vincent Fillola a exercé diverses fonctions dans l’administration, notamment comme chargé de mission auprès de l’Ambassadeur pour les Droits de l’Homme et auprès du Défenseur des Droits. Il est diplômé des Universités de Toulouse et de Paris 1 – La Sorbonne, en science politique et en droit international.

Il s’est engagé au sein d’ASFF dès sa prestation de serment et en est devenu administrateur en 2015.

Julien Pourquié Kessas est associé fondateur du Cabinet Koop Avocats, spécialisé en droit des affaires depuis 2016, année où il a prêté serment. Diplômé de l’Institut des Etudes Judiciaires (IEJ) de Toulouse en 2001, et a été en charge de la gestion privée dans un groupe bancaire jusqu’en 2010, avant de rejoindre le cabinet YJP et Associés.

Julien Pourquié Kessas s’est engagé au sein d’ASF France en tant qu’administrateur en 2015, puis en est devenu Secrétaire Général en 2016.

Avocats Sans Frontières France, engagés pour défendre les justiciables, victimes de violation des Droits de l’Homme

En 2017, ASF France compte 180 adhérents, dont 120 bénévoles qui ont conduit 17 missions dans 4 pays. L’association mène actuellement plusieurs missions :

• au Tchad, dans le cadre du Programme d’Assistance et d’accès au Droit pour les Enfants et les Femmes (PADEF), afin d’améliorer le respect des règles et des garanties en matière de détention, d’organiser la prise en charge complète des dossiers des femmes et mineurs détenus les plus vulnérables et de sensibiliser la population et les acteurs de la chaîne pénale aux droits des femmes et de l’enfant,
• au Mali, avec le Projet de renforcement de capacités des magistrats du Nord du Mali (PROCAMANO), pour contribuer à l’amélioration de la qualité de la justice pénale,
• au Nigeria où Projet ProCAT « Lutte contre la torture au Nigeria » vise à faciliter l’accès à la justice pour les victimes d’actes de torture et contribuer à la réduction des actes de torture tout au long de la chaîne judiciaire grâce à la mobilisation des acteurs judiciaires et à la sensibilisation de la population au Nigeria,
• en Côte-d’Ivoire, dont la Promotion et Protection des Défenseurs des Droits de l’Homme (PRODEF) est devenue une priorité afin que toutes les ONG de défense des droits humains agissant dans la zone aient une meilleure connaissance de leurs droits, et travaillent en synergie afin de garantir une protection effective des défenseurs des droits humains,
• au Cambodge, avec le « projet d’Accès au Droit pour tous et défense des plus démunis», des permanences juridiques sont organisées au Tribunal de Battambang et des avocats assurent la prise en charge de dossiers criminels et de mineurs,
• enfin en France, et plus précisément à Paris, ASF France met en place des permanences juridiques pour appuyer les demandeurs d’asile dans leurs démarches (Mairie du X^ème arrondissement, tous les vendredis).

Arnaud Diaz, Président de l’Association Que la Montagne est Rebelle, Maire de l’Hospitalet-prèsl’Andorre et tous les acteurs mobilisés, personnels de l’école, parents d’élèves, citoyens, techniciens, élus avaient raison d’y croire. La Direction Générale de la Cohésion Sociale vient d’officialiser la création de la Maison des Cimes, dans la commune.
Bien plus qu’une satisfaction pour le territoire, ce projet est un emblème local d’innovation sociale en territoire rural.

L’idée de créer la Maison des Cimes est née il y a 4 ans, d’un constat* : on dénombrait en 2005 en France 2,84 millions d’enfants de moins de 25 ans vivant dans une famille monoparentale avec pour chef de famille dans la majorité des cas une femme, très souvent en situation de précarité.
La Maison des Cimes répond à 3 enjeux forts :
– Créer un établissement social d’insertion, lieu d’accueil de femmes avec enfants favorisant l’autonomie – Initier une nouvelle offre de service social permettant de répondre à la désertification des territoires ruraux – Bâtir un lieu de vie, porteur de développement local et d’animation au service des collectivités territoriales, fédérateur de lien social

« Après 4 années à se mobiliser et s’unir, les citoyens de l’Hospitalet-près-l’Andorre voient enfin la concrétisation d’un projet social commun. Ensemble, nous sommes fiers de pouvoir créer la Maison des Cimes et attendons avec impatience l’ouverture de ce lieu de vie collectif, prévue au printemps 2019. »
Arnaud Diaz, Maire de l’Hospitalet-près-l’Andorre

Le gestionnaire de La Maison des Cimes sera France Horizon.

Une réunion publique d’information est fixée le mercredi 11 octobre à 18h à la Mairie de l’Hospitalet-près-l’Andorre pour informer et rassembler les citoyens ainsi que tous les partenaires techniques et administratifs. Le lancement des travaux est prévu au printemps 2018 pour une ouverture de La Maison des Cimes au printemps 2019.

*Source : https://www.insee.fr/fr/statistiques/1281271

Les Chambres d’Agriculture d’Occitanie organisent depuis le 1er juin, 27 rencontres avec des agriculteurs qui mettent en œuvre de nouveaux process au sein de leur exploitation.

• Le concept des journées Innov’Action : donner la parole aux agriculteurs pour présenter leurs pratiques innovantes autour de la triple performance économique, sociale et environnementale, à d’autres agriculteurs, directement sur leur exploitation, afin de favoriser le transfert de pratiques et des connaissances. Ces journées sont également ouvertes à l’ensemble des partenaires du monde agricole et rural. Elles s’inscrivent dans la 4° édition nationale de cette opération pilotée par les Chambres d’agriculture.

• Les secteurs de l’agriculture et de l’agroalimentaire sont le pilier de l’économie de la Région Occitanie, devant l’aéronautique et le tourisme. Pour autant, ces secteurs font face aujourd’hui à d’importantes crises – climatiques, économiques, sociales, sanitaires et environnementales. Le défi pour les agriculteurs est de concilier des entreprises agricoles compétitives et des systèmes de production à faible impact sur l’environnement et ainsi pérenniser leurs exploitations. Pour y arriver, l’innovation est primordiale.

Les rendez-vous du mois d’octobre :

• Mardi 3 octobre à 9h30 à REJAUMONT (65) : Hervé GUILLEN exploite 72 hectares de SAU sur le plateau de Lannemezan à environ 550 mètres d’altitude. Il produit du bovin viande de race Blonde d’Aquitaine avec 88 vaches allaitantes. Il vend 69 broutards et 20 vaches grasses par an. Son souhait de gagner en autonomie alimentaire a été accompagné dans le cadre du projet commun QUALI-PRAT mené sur 5 ans par les Chambres d’Agriculture des HautesPyrénées, du Tarn et de l’Aveyron, avec l’appui de l’INRA.
• Jeudi 5 octobre à 9h30 à MAUBOURGUET (65) : Jean-Luc LAFFONTA, qui depuis son installation, a travaillé vers la diversification des productions de son exploitation. Initialement en rotation très courte de maïs et de haricots verts, il est intéressé par la mise en place de rotations plus longues et diversifiées alternatives à ce système, et rejoint le projet MAESTRIA à son démarrage (Mise Au point et Evaluation de Systèmes de culTuRes Innovants et durAbles). Il introduit ainsi dans son système des cultures d’hiver, avant de se diversifier vers le maraîchage.
• Jeudi 5 octobre à 9h30 à TOULOUGES (66) : Henri et Marie IRLA qui utilisent des biocontrôles en arboriculture afin de réduire les IFT et les résidus.
• Jeudi 5 octobre à 14h30 à PIA (66) : Jacques GAU pilote l’irrigation en production d’artichauts grâce à un goutte à goutte et un paillage biodégradable, réduisant ainsi l’usage de produits phytosanitaires.
• Mardi 10 octobre à 10h à AUMELAS (34) : Tarome TOKORAGI-GORODETZKY, qui a rencontré en 1998, Philippe et Estelle CALAMAND en train de créer la première ferme de spiruline en France : la ferme de la Capitelle dans le Lodévois.
• Lundi 16 octobre à 14h00 à MONFAUCON (65) : Jacqueline TENET et Jean-Pascal FAZILLAULT, sont associés pour travailler 2 exploitations sur la commune de Monfaucon. À deux, ils produisent des légumes et du soja sur 11 ha, ainsi que sous serre. La certification en Agriculture Biologique et les différents débouchés leur permettent de sécuriser leur revenu.

Des agriculteurs parlent aux agriculteurs

Innov’Action est un label porté par les Chambres d’agriculture pour identifier les journées portes-ouvertes dédiées à l’innovation pour une agriculture performante sur le plan économique, social et environnemental, et qui favorisent les échanges entre agriculteurs, ainsi que le transfert de pratiques et de connaissances. L’innovation est essentielle pour permettre aux exploitations agricoles de répondre aux grands défis auxquels elles sont confrontées : le changement climatique, la préservation de l’environnement, la croissance de la demande alimentaire, mais aussi la concurrence sur les marchés européens et internationaux.

Les enjeux d’Innov’Action :
– Détecter et valoriser les agriculteurs qui innovent
– Pousser les agriculteurs à échanger entre eux
– Faire intégrer l’innovation dans la réflexion des agriculteurs
– Créer une dynamique sur les territoires